Tant en chiffres absolus que proportiellement à sa population, la République tchèque a été l’un des principaux pays cibles des réfugiés ukrainiens. Mais alors que beaucoup d’entre eux resteront au moins une année supplémentaire, l’État entend mettre davantage de moyens en œuvre pour faciliter et accélérer leur intégration dans leur pays d’accueil. Si l’accès à l’emploi et au logement sont deux des grandes priorités, l’apprentissage de la langue tchèque, surtout pour les travailleurs, constitue un autre défi de taille aux enjeux multiples.